Arrivée au Mont il y a près de 20 ans avec mon mari, j’y ai fondé ma famille. Maman de 2 adolescents, j’ai fait partie de plusieurs associations locales. D’abord aux paysannes vaudoises, puis à la FSG comme monitrice J&S.
Désireuse de m’investir plus, j’ai eu la chance d’être élue au Conseil Communal lors des élections de mars 2021. À l’heure où Le Mont est en passe de devenir une ville, notre identité rurale doit être conservée. Au terme de ma première législature, je mesure pleinement les défis qui attendent notre commune. C’est avec expérience, motivation et sens du devoir que je souhaite poursuivre mon engagement au Conseil communal pour accompagner cette croissance avec cohérence, transparence et humanité.
Je désire m’engager pour une mobilité mieux organisée, des routes plus sûres pour toutes et tous, des écoles capables d’accueillir nos enfants dans les meilleures conditions et le maintien d’une proximité réelle entre autorités et habitants en toute transparence.
La solidarité, la bienveillance et la proximité font parties de mon engagement quotidien et de mon identité. Je crois à une politique faite de dialogue, de collégialité et de consensus, au service du bien commun. C’est sur ces valeurs que je souhaite poursuivre mon travail au sein du Conseil Communal.
Ces dernières années, j’ai travaillé pour le service public à Genève, à Fribourg et dans le canton de Vaud, et à chaque fois, les difficultés liées aux moyens étaient à l’ordre du jour.
La politique d’affaiblir les caisses de l’État pour privatiser ensuite me semblait du vol. Je milite pour un service public fort qui puisse faire face aux besoins de l’ensemble de la population. Le démantèlement du service public en cours en Suisse est une politique structurelle de privatisation à courte et à longue terme. Il ne s’agit pas que de la lutte pour les salaires comme le présente la presse bourgeoise, même si les salaires stagnent depuis longtemps, il s’agit aussi de la lutte pour les moyens. Des unités sans moyens au CHUV signifient de la maltraitance pour le personnel soignant et des mauvaises prestations pour le patient-e-s. Je milite pour un salaire socialisé digne (rentes, pensions, aides, subventions, bourses) c’est hors de question que nos aînés doivent divorcer pour avoir deux rentes afin de boucler les mois.
Au niveau communal, le sujet n’est pas si lointain, l’affaiblissement de la péréquation financière affecterait notre budget communal. Si avec l’argent public, nous avons pu sauver une banque en détresse, il faut maintenant que la BNS distribue les bénéfices par une péréquation à la hauteur des besoins communaux.
Depuis longtemps, je me suis engagé pour des politiques publiques en accord avec les besoins de la population. Sans cela, la cohésion sociale serait – à mon sens- un slogan vide de contenu. En tant que sociologue, j’ai une vue d’ensemble de mon environnement je sais que nous agissons au niveau micro mais nous ne devons pas perdre de vue ce qui se passe à Berne et au niveau cantonal. La démocratie directe fait défaut chaque fois que certaines décisions se prennent ailleurs sans des contrôles démocratiques, sans débat. Nous devons toutes et tous être attentifs à faire vivre la démocratie dans notre commune.
Vous avez compris, je suis un citoyen engagé. Je suis membre du Secrétariat Fédéral SUD depuis quelques années. Je suis contrôleur des institutions signataires de la CCT sanitaire parapublic vaudois et de la CCT SAN dont je suis membre de la commission paritaire en représentation de la Fédération syndicale SUD. Être attentif à la santé de travailleurs et travailleuses est ma consigne en tant que contrôleur CCT, surtout à garantir l’accomplissement des CCT afin de garantir des conditions dignes au travail.
Maintenant, j’aimerais m’engager pour ma commune et contribuer ainsi au bien-être de notre population. Face au vieillissement de la population, notre commune doit se préparer pour faire face à ce constant démographique nous devons créer en amont des structures pour nos aînés et les aider s’ils veulent rester à la maison. Des points de rencontre intergénérationnels sont nécessaires pour garantir des échanges, entre eux et les nouvelles générations. De plus, une ville qui pense aux gens à mobilité réduite et aux loisirs de la jeunesse sera une ville pensée aussi bien pour le présent que pour le futur. Enfin pour faciliter l’installation de nouveaux couples dans notre commune, nous devons également soutenir le développement des structures d’accueil pour les enfants.
Pour une commune qui s’engage pour l’avenir et l’égalité des chances de chaque enfant, en développant des programmes solidaires et durables, adaptés à la diversité des familles d’aujourd’hui.
Arrivée au Mont en 2011, j’y ai fondé ma famille et j’y élève aujourd’hui mes deux enfants de 9 et 4 ans, tout en travaillant à 100 % dans les ressources humaines. Face à une croissance rapide, il est essentiel que notre commune se développe de manière réfléchie, avec des infrastructures adaptées aux besoins de sa population d’aujourd’hui et demain.
L’égalité des chances est au cœur de mon engagement. Elle passe par un système parascolaire fort et accessible :
des capacités d’accueil garanties,
des horaires flexibles, adaptés notamment aux parents aux horaires irréguliers et aux familles monoparentales,
un accueil de qualité incluant soutien aux devoirs, repas chauds, équilibrés et si possible locaux et bio, à des prix socialisés (adaptés aux revenus de chacun).
Je souhaite également la mise en place :
d’un organe de coordination pour la journée continue,
d’un rôle renforcé des associations de parents dans les réflexions sur l’organisation scolaire et parascolaire.
Assurer un développement harmonieux et durable
Au-delà des questions relatives à la politique familiale, je soutiens tout particulièrement :
la création d’un véritable centre du Mont et d’une vie locale dynamique,
l’essor de la mobilité douce : transports publics accessibles, chemins piétons et pistes cyclables sécurisés afin de réduire le trafic de courte distance et améliorer la qualité de vie,
le soutien aux producteurs locaux et aux commerces de proximité.
Être conseillère communale, c’est pour moi être à l’écoute, proche des habitants et agir concrètement pour une commune vivante, solidaire, éco-responsable et tournée vers l’avenir.
Né à Lausanne en 2007, je suis arrivé au Mont en 2011 avec mes parents et mon frère. J’y ai donc fait toute ma scolarité et je poursuis actuellement mes études au gymnase de Beaulieu, à Lausanne, en dernière année de maturité.
À côté de mes études, je pratique plusieurs activités au Mont, notamment du tennis, de la gymnastique à la FSG et du violon à l’école de musique du Mont-sur-Lausanne.
Me déplaçant à vélo ou en transports publics, je souhaite m’engager pour la mobilité douce et ainsi contribuer à un Mont plus durable et agréable pour toutes et tous.
Habitante du Mont-sur-Lausanne depuis 2019, je souhaite m’engager au Conseil communal avec la volonté de contribuer à une commune solidaire, attentive aux parcours de vie et respectueuse de chacune et chacun. Avocate, principalement active en droit de la famille, mon activité professionnelle m’a conduite à être au plus près des réalités vécues par les enfants, les familles, les femmes et les personnes en situation de vulnérabilité, nourrissant mon attachement à une action publique fondée sur l’écoute, l’équité et l’accès aux droits.
Mère de deux enfants, je suis sensible aux politiques communales qui accompagnent concrètement les familles, notamment à travers des structures d’accueil et parascolaires de qualité, essentielles au bien-être des enfants. Ancienne assesseure en commission de conciliation en matière de bail à loyer et consultante à l’ASLOCA, j’ai acquis une expérience concrète des enjeux liés au logement, que je souhaite mettre au service de solutions justes et équilibrées. Engagée de longue date dans la vie associative, y compris dans le milieu étudiant, je connais l’importance de la participation et de l’implication des jeunes. Candidate sur la liste du SEL, je défends une action politique modérée, responsable et solidaire, au service de la cohésion sociale et de la qualité de vie au Mont-sur-Lausanne.
J’ai horreur de l’injustice sociale à tous les niveaux. Elle est omniprésente. Il suffit d’ouvrir un journal pour la découvrir, elle saute aux yeux. On y trouve beaucoup d’égoïsme et peu de solidarité. Cela me préoccupe et me met en colère.
Sur les 700’000 personnes qui vivent sous le seuil de pauvreté en Suisse, combien vivent dans notre commune ?
Nous devons réagir, même au niveau communal. Voici quelques exemples d’actions nécessaires :
Fournir plus de logements abordables pour les personnes aux revenus modestes
Créer davantage de places d’accueil pour les enfants à des prix abordables.
Réduire les coûts des transports publics par des subventions ciblées.
Mon rêve
C’est de voir des progrès réalisés dans notre commune dans ces domaines. Ce sont des sujets qui font partie des préoccupations du Mont Citoyen. C’est pourquoi je m’y sens à l’aise.
Je suis retraité, ancien cadre commercial, vivant au Mont-sur-Lausanne depuis 8 ans, après de nombreuses années passées à l’étranger. Membre du Conseil Communal depuis un an et demi.
Actif dans la gestion de l’association Mont Solidaire.
Quelle chance nous avons de vivre au Mont ! Pour préserver cette qualité de vie, il est essentiel d’anticiper les défis actuels et à venir, notamment sur le logement, la croissance et la transition écologique.
Favoriser des logements accessibles pour toutes et tous
Se loger au Mont relève de plus en plus de la gageure. Développer des logements à loyers abordables est essentiel pour permettre à la classe moyenne, aux familles, aux jeunes et aux aînés de rester dans la commune et renforcer la mixité sociale.
Prendre soin de toutes les générations
Les besoins en garderies et en structures d’accueil de jour augmentent. Une offre suffisante et accessible est indispensable pour concilier vie professionnelle et vie familiale. Elle s’accompagne d’une politique engagée en faveur des aînés, incluant des solutions favorisant le maintien à domicile, des services de proximité et le lien intergénérationnel.
Grandir de manière durable
La croissance de la commune exige des infrastructures solides et une mobilité adaptée. Ces investissements doivent être maîtrisés, pensés à long terme et intégrés aux enjeux climatiques.
Un Mont pour toutes et pour tous
Anticiper ces évolutions, c’est garantir que chacune et chacun trouve sa place au Mont, quels que soient son âge, son parcours ou son pouvoir d’achat.
Installée au Mont depuis un peu plus de trois ans, mère de quatre enfants, historienne spécialisée en histoire économique, diplômée en gestion financière et en administration publique, forte de plusieurs années d’expérience au sein de l’administration cantonale et de législatifs communaux, c’est avec conviction que je mets mes compétences au service de notre commune.
Arrivé en 2011 dans la commune, je m’y suis vite intégré, en participant de manière active à la riche vie associative locale, que ce soit comme moniteur à la FSG du Mont ou, plus tard, comme entraîneur au FC Le Mont ou encore comme membre du comité des Jardins du Mont.
Mon intérêt pour la chose publique m’a amené à rejoindre en 2016 l’aventure du tout nouveau groupe politique Le Mont citoyen et à être élu au Conseil communal. J’ai eu l’occasion d’y défendre des thématiques qui me tiennent à cœur, comme des aménagements de qualité pour la mobilité douce, des subventions pour les transports publics, un accueil pré et para-scolaire de qualité et solidaire, ou encore une arborisation ambitieuse de la commune.
Depuis 2024, j’ai la chance de pouvoir porter mes convictions au sein de la Municipalité. Je souhaite poursuivre mon engagement au sein de l’exécutif pour continuer à y défendre les valeurs fondamentales du Mont citoyen, Solidarité – Ecologie – Démocratie, pour toutes et tous!
Citoyenne engagée au Mont-sur-Lausanne, j’ai choisi cette ville pour y faire ma commune d’origine. Depuis mon arrivée, je participe à son développement, notamment dans cette période charnière de transition de village à ville que nous vivons depuis plusieurs années.
Femme de terrain, je connais la réalité quotidienne des familles, la place des jeunes dans notre communauté et l’importance du lien entre les générations. Je souhaite que chacune et chacun puisse se sentir reconnu·e, entendu·e et légitime à participer à la vie communale.
Engagée dans le tissu associatif et social vaudois, je m’investis pour renforcer la cohésion sociale, la solidarité et une participation citoyenne accessible à toutes et tous, y compris aux jeunes.
Maman de deux enfants, consultante indépendante, formée au coaching, à la santé mentale et aux stratégies de formation en entreprise, j’interviens sur les questions de leadership personnel, de transitions de vie et de carrière, ainsi que de prévention du burn-out, auprès des jeunes comme des adultes. J’utilise également ma connaissance du tissu économique vaudois et des réseaux associatifs, sociaux et institutionnels comme leviers d’intégration et de cohésion sociale.
Je suis convaincue qu’une commune progresse lorsque les citoyennes et citoyens disposent d’informations claires et de cadres concrets pour agir. Mon engagement vise des actions utiles et réalistes : accompagner les familles et les jeunes dans les moments clés, renforcer le sentiment d’appartenance, soutenir des environnements de travail et de formation sains, et favoriser des collaborations efficaces entre la commune, les acteurs économiques, les associations et les institutions.
Je place la cohésion sociale, la solidarité et le vivre-ensemble au cœur de mes priorités, avec une volonté claire : permettre à chaque habitante et chaque habitant, jeunes comme moins jeunes, d’être acteur de la vie de notre commune, aujourd’hui et demain.
Les trois groupes politiques, Le Mont citoyen, les Vert·e·s et le SEL, s’allient pour insuffler un nouvel élan à l’exécutif communal. Aujourd’hui, la gauche n’est représentée à la Municipalité que par un seul membre, issu du Mont-Citoyen.
Frédérique Beauvois, Brigitte Besson, Jean-Marie Urfer et Chimène Maraviglia
Avec cette union, les trois formations souhaitent renforcer la présence d’une gauche plurielle et engagée au sein de la Municipalité, afin d’y garantir une véritable diversité d’opinions et de valeurs. Notre ambition est claire : assurer une représentativité plus fidèle de la population, en phase avec les défis sociaux, environnementaux et démocratiques du Mont de demain.
Aux côtés du municipal sortant Jean-Marie Urfer (Le Mont citoyen), trois candidates expérimentées et engagées se présentent :
Brigitte Besson (Les Vert·e·s)
Frédérique Beauvois (SEL)
Chimène Maraviglia (Le Mont citoyen)
Fortes d’une solide expérience au Conseil communal et activement impliquées dans de nombreuses actions citoyennes, elles apportent des compétences complémentaires et une connaissance fine des enjeux locaux.
Ensemble, ces quatre candidat·e·s portent une liste unie et déterminée, prête à défendre une politique engagée, solidaire et écologique, au service des Montaines et des Montains, pour un Mont-sur-Lausanne résolument tourné vers l’avenir.
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